résumé des caractéristiques à la naissance :
Fo : 8
De : 7
End : 7
Int : 8
Pe : 10
Cha : 8
Nom : Shon
Race : Elfe des bois
Taille : 1m87
Poids : 68 kg
Peaux : pâle
Cheveux : Longs cheveux argentés
Yeux : Verts
Background :
"
oyez vous mon brave je suis nais dans une lointaine ville où la vie bat son plein. Voyez vous dans ma ville natal, le bruit de vos machines agricoles et de veaux bestiaux sont remplacés par celui des oiseaux et de l'eau qui cool sur les paroits abrutes des falaises qui nous entourent.
- Ca doit bien être jolie messir l'elfe tout ça doudiou.
- Ca l'est. Ma ville est encore très certainement ignorée par les hommes et ceci tant mieu. Elle restera encore aussi jolie pour des décénies très certainement.
*large sourir de l'elfe*
Mais n'est ce pas hypocryte de vivre ainsi ?
*petit temps mort pendant lequel on peut sentir un léger souffle de vent caresser le visage de l'elfe qui ressert ses traits de visage *
Tout y est abondant, les enfants jouent, leur parents rient sans se soucier de nos frères persécutés par les machines au bruit sourd qui dévastent les forêts que l'on protège depuis des centaines d'années avec nos mains ... Tout celà je m'en suis vite rendu bien compte. Les gens de ma ville ignorent les autres et restent accrochés à ce cocon de bonheur en le pensant indestructible. Lorsque j'étais petit, je passais beaucoup de temps avec mon grand père. Il m'enseigner la manipulation du vent. Peut être que pour vous humain celà vous parait un peu fou mais regardez.
*L'elfe tend sa main vers un pissenlit et commence à faire virvolter en l'air le polen de se dernier dans une danse magique le laissant se poser sur les cheveux ébouriffé et gras du vieux paysan*
- Et bien doudiou, j'ai entendu parlé souvant au malché de vois pouvoil et ben je dois dile que je suis heureux d'avoil pu voil ça de mes propre yeux.
*le soleil était bas et on commençait à le voir disparaitre dérière l'horizon lorsque l'elfe repris avec uen petite lueur dans les yeux*
- Mon grand père est la personne la plus respectable que je connaisse. Il était gentil avec moi, ce n'était pas la même gentillesse que celle que pouvait m'apporter mes parents. Eux m'ont éduqué dans leur sens sans se soucier vraiment de ce que je voulais être et encore moins de ce que je voulais devenir. J'étais la perle rare de la famille, l'enfant que tout le monde appréciait, l'enfant à qui tout le monde souriait. La nature m'avait doté d'un visage doux et tendre avec des cheveux soyeux et argentés. Les gens disaient de moi qu'aucun elfe n'avait jamais autant dégagé de quiétude et de charme.
Mes parents m'exhibaient dans les banquets et voulaient tout le temps que je les accompagne durant ces orgies où la fête battait son plein. Mon village adorait le chant mais détestait la musique. Pour eux, le doux son de nos voix n'avait pas besoin d'accompagnement. Les chants elfiques ... De jolies chants, à la fois doux comme du coton et à la fois puissant comme nos arcs. Mais malgrès celà, qu'importait le puissance de ces chants, je n'avais qu'un seul bruit en tête ...
Mon grand père qui compris très vite ma maturité avancé me demanda un jour si je voulait voir la souffrance de mes frères. C'était osé de sa part car j'étais encore bien jeune mais il connaissait ma sensibilité et ma détermination, il voulait les cultiver en me faisant voir "l'interdit". Je dîs oui naïvement. Nous marchâmes pendant plusieurs jours en forêt. Pendant notre petit voyage, il me confectionna un instrument. C'était une flûte. Je ne savait pas trop à quoi celà pouvait servir alors mon grand père me montra. Il porta l'objet à sa bouche et souffla dedans. Un son doux et aigüe sorti de l'objet. Intrigué, je la pris et j'essayai d'y souffler dedans sans succès dans un premier temps. Le reste de notre voyage se fit dans le silence. Concentré sur cette objet d'une simplicité extrême, je continuais d'essayer de faire sortir un son de cet objet. J'y parvînt apres plusieurs heures d'essais. J'étais tellement heureux que je couru dans les bois pour rattraper mon grand père qui avait pris de l'avance quand je l'eût rejoin je découvrit l'horrible spectacle ...
Un bruit sourd et lourd entourait ce champs d'arbres décimés. Les machines avancaient dans un ballai de mort toutes avec de gigantesques dents. Je crois qu'à cette instant je me suis mis à pleurer. Mon grand père me porta sur ses épauls pour le retour. Nous eûmes une grande discution. mes phrases commençaient toutes par *pourquoi*. Je ne pouvait pas encore comprendre ce que je venais de voir à l'époque, ça me rendait simplement triste.
les années passairent et ce chant de mort restait gravé dans ma tête. Tout le monde le savait mais personne ne faisait rien ... Je retournais souvant à l'insu de mes parents vers se champs d'arbre décimé. Ma flûte guidait de ses notes les âmes de ces êtres vivants si violemment détruit vers les cieux.
Puis un jour en rentrant de cet endroit, il y avait de l'agitation dans le vilage. Des gens couraient, d'autres pleuraient. J'apperçus ma mère à ce moment là. Elle pleurait. J'appris très vite que mon grand père avaient été retrouvé non loin du vilage criblé des flèches. Une vieille rancoeur, un ancien malentendu qui refait surface... Une si petite chose avait provoqué la mort de l'être que je respectais le plus en ce monde. Je n'ai pas encore eu la force de le pleurer. Alors que tout le monde de ma famille pleuraient son départ le jour de son enterrement, j'ai sorti ma flûte et lui ai joué la mélodie que je jouais souvant aux arbres afin qu'ils aillent se reposer dans un endroit où il pourait continuer à me guider et à me conseiller...
Tout le monde fût choqué de me voir avec un instrument dans les mains. En un instant j'étais passé de l'homme model au rebus de la société. Les réactions à l'époque me firent sourir. J'ai quitté mon village depuis ce jour, mon grand père avait était tué mais j'étais sur qu'il ne regraitait pas sa vie . Je savais qu'il était fier de moi et qu'il avait envi que je fasse ce qu'il avait toujours voulu faire. Apporter la paix et la joie dans le coeur des gens, générer l'entraide et la solidarité. Faire mon maximum pour que la nature redevienne une personne respecté et non plus une ressource exploité...
*L'elfe se lève, frotte sa cape pour enlever les résidus de foins qui tainaient sur le rondin où il était assis avec le vieille homme*
Tu as une terre fertile mon ami. Continue à la travailler avec tes mains et elle nourira ta fille et ta femme pour encore de nombreuses années.
*l'elfe commence à s'éloigner de la ferme où il avait était accueilli fatigué par son long voyage solitaire. IL retir sa capuche et découvre pour la première fois depuis son départ son visage androgyne à un humain. Avec un large sourir il dit*
Ce soir les notes de ma flûte voleront vers ta famille et viendrons bercer cette nuit afin de vous apporter la sérénité que vous méritez vieille homme. Ce soir tu m'as convaincu que vous humain n'êtes pas tous mauvais.
- Tu es le bienvenue messile l'elfe que dieux te galde.
*Petit à petit l'elfe devînt silhouette aux yeux du paysan, puis ombre avant de disparaitre à l'horizon...*
Caractère :
- Se méfie des hommes mais est prêt à en apprendre plus sur eux.
- Ne montre jamais son visage de peur de revivre ce qu'il a vécu.
- Maitrise les arcanes du vent dans le sens de la protection (meujeuh je te laisse me trouver des sorts basique de protection liés au vent)
- Joue de la flûte. Utilise sa maitrise du vent pour donner une dimension magique à ses chansons qui redonneraient force et courage à ses alliés ...